Casabelli Aaron ||Womeneater||

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

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~ I. IDENTITY

Nom:

Prénom(s):

Date & Lieu de Naissance:

Âge:

État Love:

En couple

Occupation:

Maître nâgeur à la plage

Avatar:

Chris Evans

~ III. CAN'T BUY MY LOVE

Votre premier vrai grand Amour:

Pas d'hésitation possible. Elle s'appelait Lexie. Elle était radieuse et mes sentiments pour elle était sans faille. Je devais avoir 18 ans. Je sais, on raconte que l'amour, à cet âge la, ça ne dure jamais mais moi, j'y croyais. Pour la premier et unique fois de ma vie, j'ai cru en quelque chose. Cependant, nous avons du nous séparer ou plutôt, j'ai du la laisser partir. C'est peut être un peu bête à dire comme ça mais... Je lui avais demandé que nous restions cachés. Je ne voulais pas que nous nous affichions car Bambou ne pouvait pas être au courant. Je connaissais la jalousie féroce et inexplicable. Lexie a pensé que je voulais la cachre, que j'étais gêné d'elle. C'était une erreur. Il n'existe pas plus belle enfant que celle-la. Un jour, elle m'a demandé des explications. Je n'ai pu lui en fournir qui la satisfait. L'ultimatum était lancé. Elle est partie devant ma lenteur a réagir. Je ne l'ai plus revue.[i]
Votre premier baiser: [i]12 Ans. Leese, la petite blonde de ma classe qui était trop mignonne. Je me demande ce qu'elle est devenue. Bref, elle me plaisait bien. Elle setnait toujours la fraise. D'ailleurs, si je me souviens bien. Ces lèvres avaient un goût de fraise aussi d'ailleurs. Les chewing gum sans doute. C'était un moment agréable. J'en garde un bon souvenir. J'espère qu'elle aussi. On sait plus trop parlé après ça. Ceci explisaurait peut-être cela. .

Votre plus grosse déception amoureuse:

Encore faut-il que je sois réellement tomber amoureux pour être déçu amoureusement. C’est pas compatible. Je n’ai aucune idée de ce que l’on ressent lorsqu’on est abandonné par celle qu’on aime, aucune idée de ce que l’on pense, des raisons qui font pleurer. Ce que je sais, c’est que je ne veux pas avoir du mal à me le ver le matin, à avancer tel un robot car l’on m’aurait brisé le cœur.

La chanson d'amour qui vous émut le plus:

Le message personnel de Françoise Hardy. Une traduction c’est imposée mais Dieu qu’elle est belle.

Croyez-vous à l'amour éternel ?:

Le quoi ? L’amour éternel du genre, je rencontre une file, je la marie, je lui fais des enfants ? Encore faut-il que je sois du genre sincèrement romantique. Je le suis quand ça m’arrange.
Comme si c'était mon genre d'aller choper la honte devant les autres en lui donnant des surnoms ridicules. Comme si c'était mon genre de lui courir après aux moindres caprices, de la prendre dans mes bras, de lui envoyer des textos de la journée sous prétexte que j'ai entendu à la radio sa chanson préférée. C'est une blague ? Moi les niaiseries qu'on voit à la télé c'est pas moi. Je suis pas le prince charmant et si elle le cherche, je lui souhaite bon courage. Faudra pas qu'elle pleure, faudra pas qu'elle m'en veuille, c'est sa mère qui leur a bourré le crâne avec cette histoire de cheval blanc.

Croyez-vous en cette légende sur la Fontaine d'Eros qui exauce les vœux amoureux ?:

Je ne crois pas en l’amour, je crois pas en Dieu, je crois pas au miracle de la médecine… Moi… Je crois en ma famille et mes deux amis. Alors, le jour où l’on pourra mettre des pièces dans une fontaine pour rencontre le grand amour, être aimer, ou ne plus avoir à pleurer d’un chagrin d’amour, je veux bien me balader nu, dans toute l’île avec un chapeau d’âne sur la tête. Non ! J’y crois pas. Je suis désolé. Si j’avais eu 10 ans de moins, j’aurais mis un chewing gum au bout d’un bâton et récupérer toutes les pièces pour m’acheter des bonbons. Voila à quoi servent vos pièces mes chers amoureux. Enfin, je me plains pas, ca me fait un endroit sympa où draguer.

En quelques mots, c'est quoi l'amour pour vous :

Trahison – Doute – Complication – tristesse – Rupture. Ca vous va ? J’ai trop souvent vu la belle Bambou pleurer pour les hommes. Trop souvent. Je veux pas aimer trop. Je veux pas pleurer.

~ IV. BY MY SIDE!

Prénom ou Pseudo:

Ton Âge:

Comment trouves-tu notre forum ?:

Other:

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

~ II. THE STORY OF MY LIFE

B : Oh. Aaron. Ne le laisse pas la.
A : Bou. S’il est monté, il doit savoir descendre.
B : Non ! Il a peur. Regarde la tête qu’il fait
A : Ben. Pourquoi il est monté alors s’il a le vertige.

La belle enfant aux nattes parfaites et au teint hâlé implorait son ami. Visiblement, elle espérait simplement qu’il sauve impérativement la vie d’un chaton trop audacieux. Ron n’était pas contre l’idée. Il ira sauver ce chat. Pour contempler ses traits exotiques s’illuminer, que ne ferait-il pas ? Néanmoins, voir sa meilleure amie sautiller sur place, les mains jointes, prête à lui offrir tout ses bonbons pour qu’il lui rendre ce service semblait l’animer d’un plaisir sournois. Ce n’est qu’un enfant. Il aime juste s’amuser. Clayton, troisième maillon des ABC, comme ils se font surnommer par le quartier, traversa le terrain de baskets en trottinant et agitant ses bras fins de grands signes à l’adresse de ses meilleurs amis. Aaron, Bambou et Clayton vivent la même cité. Inséparables, ces garnements ont grandis ensemble. Leurs mères respectives, amies de longues dates, accouchèrent dans le même hôpital, changèrent les couches en regrettant leur nuit pleine et les baladèrent dans central park en échangeant l’antique recette de la tarte Tatin de Mamy contre celle du Tiramisù de la Nona ou les gâteaux préféré de la grand-mère portoricaine. Inutile de préciser qu’ils ont unis comme les doigts de la main. Il n’est pas de rencontre pour ces trois-la. Ils sont presque de la même famille….presque…puisque rien ne les empêchera de s’aimer.

Qu’est ce que vous faites ?

Elle me supplie de sauver son chat

C’est pas mon chat.

Je me disais bien aussi que tu n’as pas de chat.

Ouais mais ca le deviendra.

Mais ma mère me tuera.

Soit tu le prends, soit je le laisse la.

Je m’en fous. Clay ira LUI

Euh…

Et les deux jeunes garçons éclatèrent de rire, couvrant les miaulements apeurés de l’animal. Contrariée, l’enfant malicieuse n’avait pas strictement pas l’intention de se laisser faire. La sous-estimer était une erreur. Une erreur qu’ils commirent pour la toute première fois. Plus jamais ils ne cherchèrent à obliger Bambou à prendre des décisions qu’elle ne pouvait assumer ou qu’elle ne voulait pas assumer.

ok. Je le prendrai. Une semaine sur trois.

Pas possible.

Ma mère ne...

C’est ça ou j’y vais moi-même.

T’oserais pas ?

Que tu crois.

Bou, reviens ici tout de suite. C’est dangereux. Reviens.

Aaron courut vers l’arbre qu’il entreprit d’escalader avant même que Bambou ne parvienne à rejoindre ce dernier. Elle marchait d’un pas décidé mais les grandes enjambées du garçonnet de 12 ans eurent raison de sa volonté. Usant d’un ingénieux stratagème pour faire descendre l’animal – un seau attaché au bout d’une corde – il fut sauvé. Toutefois, la branche qui servait d’appui au jeune Ron semblait ne pas tolérer le poids de ce dernier. Elle se rompit. Il chuta et se cassa la clavicule. Quant à Gribouille, ils se le partagèrent de semaine en semaine sans que leurs parents n’en apprennent jamais rien.

_______________

« Je parie que tu n’es même pas cap de te balader déguisée en fée toute une journée » lança une Jessica se délectant à l'avance de pouvoir être le témoin des moqueries jalonnant le chemin d'une Bambou déguisée, qui se rendrait au cours dans cette tenue ridicule. Connaissait-elle si bien l’adolescente au sang chaud ? Elle avait être moins âgée que cette pimbêche, elle n’a jamais manqué de caractère la jolie brune. Une perruque rose sur les cheveux, une baguette magique et une robe ridicule, la nouvelle ado assumait le regard des autres sans grande peine et contrairement à ce qu'espérait Jessica, tous trouvèrent son idée totalement réussie. Un bal masqué fut même organisé. Quelle chance d’avoir pour meilleur ami, les jeunes hommes les plus désirés du lycée. Les muscles saillants de Ron et le regard emplis de douceur les faisaient toute tomber. Pourtant, aucune des histoires de Ron ne dépassait le mois. D’aucune n’acceptait sa relation avec la jolie Bambou. Jessica pestant ne savait plus quoi inventer pour défier la meilleure amie des beaux gosses. La rivalité était croissante et le jeu s’étendit bientôt à Clayton et principalement Aaron. Plus téméraire, sans limite, le mettre au défi était plus amusant qu’affronter les discours moralisateur de Clayton. Un jour, Erik, le petit ami de Jessica, défia à nouveau le petit groupe.

Hey, Clayton, je parie que Bambou elle est même pas cap de prendre une barque dans central park, de ramer jusqu'au milieu du lac et de sauter dans l'eau toute habillée. »

Bambou ne savait pas nager, tout le monde le savait pertinemment y compris Erik et sa petite amie ricanant comme une oie. Elle jeta un regard plein de détresse à ses deux amis qui, trouvant le jeu tellement mesquin, répliquèrent ensembles :

Et toi Erik, es-tu capable de le faire ?

Es-tu capable de sauter dans le lac pour un jeu ?

Alors que tu n'oses même pas l'approcher de trop prêt parce que tu as peur des têtards ?

Ouhhh, des tétârds.

Les ABC éclatèrent de rires. Erik, Lui, devint rouge de colère. Il serrait les poings et il n'aurait pas fallu grand chose pour que celui-ci entame une course directe vers le visage d’Aaron qui riait de bon coeur si Clayton n’avait pas été dans les parages.

Ah Ah Ah Très drôle, parce que toi tu t'en sentirais capable peut être ?

Moi, je n'ai pas de problème avec les têtards...Mais si tu veux on peut plonger ensemble..

Cap ou pas cap de voler la voiture de mon père, de rejoindre le passage à niveau au fond de la ville, d'arrêter la voiture et d'attendre le signal qu'un train arrive pour redémarrer et avoir le droit de s’enfuir.

Tous cessèrent de rire instantanément. Aaron plongea ses yeux verts dans le regard inquiet de Bambou et Clayton, plus raisonnable…moins inconscient déclinait déjà de la tête, dissuadant son ami qu’il savait capable du pire. Que venait-il de lui proposer ? C'était le meilleur moyen pour se tuer.

Ca va trop loin ces conneries. Qu’est ce que vous voulez à la fin.

Clay s’insurgeait. Il ne voulait pas prendre le risque de perdre son meilleur ami mais, Erik semblait très mal vivre l’affront précédent. Tellement mal, qu’il ignora la réponse formulée par l’un pour s’avancer sur l’autre.

Qu’est ce qui se passe Aaron ? Tu as peur ? Espèce de froussard. Tu n’es qu’un froussard. Froussard. Froussard.

scanda-t-il très vite rejoint pas jessica. L'amour propre de Ron ne pourrait survivre à pareille raillerie

Quand ?

Demain

Quelle heure ?

23 Heures. C’est dimanche demain. Mon paternel ira se coucher tôt.

Cap ou pas cap de me fournir les clés.

Cap.

Dans ce cas, rendez-vous devant le garage

Je viens aussi.

Je serais la.

Pendant la nuit, Les trois jeunes gens ne se quittèrent pas. Invitée à passer la nuit chez Aaron dont les parents était trop habitués pour s’offusquer accueillait la jeune fille comme leur propre fille, ils eurent bien du mal à trouver le sommeil. Elle était inquiète. L’autre avait peur tandis que Clayton faisait la moral à l’intrépide.
______

Le lendemain, aux environs de 23 heures, le jeune homme, accompagné de ses amis, était prêt à risquer sa vie pour un jeu débile entamé un jour d'avril alors qu'ils étaient encore très jeunes. Erik arriva en courant, rougi par l'effort ou peut-être la frayeur d'agir dans le dos de son adoré père.

Tiens voilà les clés....

En moins de 10 minutes, les jeunes gens étaient tous dans la voiture, direction le passage à niveau et ce fut une longue bataille contre Bambou pour la faire descendre de voiture. C'est à lui qu'était adressé ce cap ou pas cap, pas à elle et il assumerait d'avoir eu trop de fierté que pour abandonner. Clayton raisonna son amie alors que Ron faisait déjà ronronner les cylindres de la voiture. Il prit place au milieu des rails, coupa le moteur, ouvrit les carreaux et récupéra les clés du moteur avant de les afficher aux nez et à la barbe du cher Erik. Aaron n'a jamais eu froid aux yeux. En moins de 5 minutes, les minutes les plus longues de la vie du jeune homme, le mouvement lancinant de la mécanique annonçant l'arrivée d'un train se fit entendre et les coeurs de chaque protagoniste cognèrent contre leur poitrine. Il n'avait pourtant pas le droit de bouger. Les consignes étaient claires. Ce n'est qu'au premier coup de klaxon du train qu'il pourrait démarrer la voiture et ce, peu importe à quel moment ils retentiraient.

1.....2......3......

Ron comptait les secondes, inquiet, imaginant que le klaxon était en panne, que dans le noir, le chauffeur ne l'avait peut être pas vu...mais enfin, Ce denier, plus sonore et salvateur que jamais, heurta son tympan et comme un nageur attendant le coup de feu pour plonger, il inséra dans le démarreur les clés pour enclencher un moteur qui ne voulait plus répondre.

Une fois...Deux fois...Trois fois...
La voiture crachotait mais ne démarrait pas. Il fallait agir et Clayton, quittant Bambou qu’il réconfortait, couru vers les rails hurlant :

Sors par la fenêtre, Ron, dépêche toi....

Il bénissait ses années et sa finesse. Il se laissa glisser par la fenêtre et courut le plus vite possible. Il fut assommé par un caillou que le choc projeta loin du sol. La locomotive percuta la voiture mais l’inconscient – sous tous les sens du terme - était sain et sauf. Ils regrettèrent ce jeu idiot mais avec le recul, ils en rient à présent... bien que ni qu’aucun d’entres eux n’oubliera leur frayeur du moment.

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Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Ron. Rassure-moi, tu n’as pas oublié ton passeport hein ?

Clay. Tu me sous-estimes la. Il est….euh….dans la poche…. Mais p*** où il est cette saleté de passeport ?

Aaron fouillait frénétiquement toutes ses poches : La poche de son jeans, de sa veste, de son sac… Il les vidait une par une. Rien. Pas de documents d’identité. Oublié, perdue. Clayton, agacé, observait son ami d’un œil mauvais, trop peu surpris par cette situation qu’il avait bien malgré lui prédite. D’aussi loin qu’il ne se souvienne, le sportif fut toujours plus inconscient que responsable. Sa distraction n’avait d’égal que son intrépidité. Angoissé, Ron entreprit sa quête du document dans son sac de voyage alors que l’autre membre de l’ABC team lui portait main fort non sans exprimer son mécontentement.

C : Tu es impossible. On ne peut pas te faire confiance. Je te l’ai rappelé au moins mil et une fois de la semaine et je te l’ai encore répété ce matin de ton réveil jusqu’à ce que tu claques la portière de la voiture. On peut savoir où tu as la tête encore ?
R : Vois le bon côté des choses, j’aurais pu oublier mon billet d’avion.
C : Oh ben oui. Suis-je bête ? Parce que c’est clair que sans ton passeport, ton billet t’est une infinie utilité. Je te le répète avec des mots simples. Billet sans passeport égal pas d’embarquement.
B : Qu’est ce que vous faites ?

Bou, jusqu’ici en grande discussion téléphonique avec la France avait, quelques secondes plus tôt, été désignée volontaire à la vérification de la chambre d’hôtel. Machinalement, son âme charitable l’amena à se penser dans le sac à dos, récupérant ce que les hommes en sortaient sans trop connaître l’objet de sa quête.

B : Ohm tu as pris la caméra de ton père ?
R : Ouais.
C : Ca ne nous rendra pas le passeport.
B : Clay ? Tu l’as perdu ?
C : Non, c’est l’autre imbécile qui l’a oublié.
R : Je ne l’ai pas oublié.
C : Ben alors, où il est ? Donne le moi.
R : Je ne sais pas ou il est.
B : Ne Cherchez pas, il est dans ma poche.
C : C’est bien ce que je dis, tu l’as oublié. Et tu vas tous nous priver de nos vacances.
R : vous pouvez partir sans moi. Je ne vous oblige pas à rester la.
B : J’ai le passeport.
C : Pff. Tu es trop con. Tu sais très bien que ce voyage on l’a décidé à 3 et donc on partira tous les trois. Mais comme tu n’es qu’un égoïste, tu n’as pas su écouter mes recommandations.
B : ALLOOOOO
R : Quoi ? Qu’est ce que tu veux que je te dise d’autres. Que je suis désolée ? Que je me mette à plat ventre.

Irritée qu’on ne lui prête pas attention alors qu’elle annonce une bonne nouvelle, une nouvelle qui réconciliera les deux jeunes hommes, Bambou leur administra une pichenette au résultat escompté. Un grand « Aie » se fit entendre de concert alors qu’un mimétisme parfait les poussait à tenir leur oreille échauffée par la douleur. Bambou, quant à elle, assez fière de son coup, agitait le carnet sous leur nez comme un trésor. Interdit, ils finirent par éclater de rire. Quelques heures plus tard, ils atterrissaient sur le sol italien. Leurs vacances au sport d’hiver commençaient au beau fixe. Aaron repartait avec le numéro de téléphone de l’hôtesse de l’air, Clayton connaissait les consignes de sécurité après les avoir lues plus de 500 fois tandis que Bou avait désenchanté tout l’avion en chantant de vieilles chansons des années 80.

R : Alors ? Comment vous la trouvez la petite blonde ?
C : Charmante hôtesse de l’air. Un peu stéréotypée.
R : Un peu quoi ? Ne m’enroule pas avec tes mots savants.
C : Sa… quoi ?
B : Moi, je la trouvais moche.
C : Elle l’était
R : A côté de toi…

Un clin d’œil complice, un sourire aux lèvres, ils s’éloignèrent bras dessus bras dessous vers l’hôtel où ils videraient leur bagage. Leur séjour se révéla parfait, rythmé par leur éclats de rire, bambou éblouissait pas sa beauté, Clayton collectionnait les mains aux fesses des petites vieilles et Ron, lui, draguait encore et toujours cette même jeune femme aux yeux d’un vert émeraude jusqu’à ce qu’elle lui cède. Invitée à le rejoindre clandestinement à la piscine de l’hôtel, ils s’effeuillèrent, profitant des bienfaits de la solitude. Toutefois, il ne l’était pas totalement. L’horloge rappela aux amoureux qu’il était l’heure de rejoindre leurs troupes. Seulement, les vêtements d’Aaron ont été subtilisés. Nu comme un ver, une doudoune rose autour de la taille pour préserver sa pudeur, il n’eut d’autres choix que rejoindre Bambou et Clayton dans cette tenue. Ils éclatèrent de rire et n’oublieront jamais cette aventure. Jamais. Et restera culte le « Je peux tout expliquer » du tombeur de ces dames.
___________________

Bon sang, Aaron, qu’est ce qui t’es arrivé ?

Au pas de sa porte, le nez dans les mains, le T-shirt pleins de sang et l’œil rougi, Aaron faisait peine à voir. La douleur du corps est peu de chose à côté de la blessure de son orgueil. Il n’avait plus mal. Son nez saignait toujours mais il n’avait plus mal. D’ailleurs, si l’hémoglobine n’avait pas Sali sa blouse, sa meilleure amie n’aurait pas eu à s’inquiéter. Appuyé contre l’encadrement de la porte, il se sentit soulagé lorsque son phare ouvrit la porte. Néanmoins, il n’avait pas cherché à l’inquiéter et la rassura immédiatement, lui confiant qu’il n’avait rien de grave. Elle l’invita à entrer, l’installant dans son fauteuil et précisa :

Ne bouge pas ! Je reviens. Je vais chercher de quoi te désinfecter

Ne t’inquiète pas Bou. Clay n’est pas la ?

Elle revint les bras chargés de cette petite boîte de pharmacie que Clay emplissait et vérifiait régulièrement.

Non. Il est avec une copine je crois. Je ne sais pas trop exactement, je viens de rentrer, mais que t’est-il arrivé ? Tu es sacrément arrangé.

Non. J’ai juste un peu saigné du nez mais je pense qu’il soit cassé. Par contre, j’ai l’arcade pas mal ouvert.

Ouais. Tu es vachement arrangé. Alors. Tu me racontes.

C’est une bêtise. Je ne m’attendais pas à …ça.

A quoi ?

FLASH BACK

Aaron, incorrigible dragueur, se baladait au alentour de cette fontaine que l’on disait magique. Quiconque y lancerait une pièce, se verrait tomber amoureux pour la vie. Baliverne. C’est un truc de fille de croire aux grands amours, et justement, il avait beau ne pas être aussi crédule que ces délicates enfants, il savait se montrer opportuniste. Dans cet endroit historique et chargé de légende gravitaient les plus belles beautés de l’île. Quel merveilleux endroit pour draguer. Ce jour-la ne faisait pas exception. L’eau s’écoulait des urnes alors qu’une jeune femme, seule, brune, magique, éblouissante photographiait l’endroit. Comment ignorer une pareille beauté ? S’approchant nonchalamment il entreprit de charmer la jeune femme. Elle semblait réceptive. Sourires et mains dans les cheveux, elle encourageait Aaron qui en rajoutait un peu plus encore. Soudain, comme sorti de nulle part, un jeune homme déboula de derrière un buisson et sans crier gare, juste des insultes, il sauta à la gorge de Ron. Certes, il avait beau être grand et dort, notre bel homme n’était pas des plus bagarreur. De plus, la surprise ne jouait pas en sa faveur. Il rendit la pareille à son agresseur qui n’était d’autres que le petit ami de cette beauté. Séparés par les autorités, il saignait du nez et son arcade était ouverte. Un homme voulut le ramener chez lui. Il accepta. Il récupèrerait sa voiture une autre fois.

FIN DE FLASH BACK.

Ce mec est complètement fou.

Je crois oui.

Je t’ai déjà dit de pas draguer la bas.

Avec toi, je ne dois pas draguer tout court.

Je sais, c’est juste que….

Que ?

Oh laisse tomber. J’ai fini. Tu peux aller te coucher. Je t’ai pas
fait mal hein, tu as vu ça l’artiste.

A : Ouais, j’ai vu ouais.

Elle rangea ses affaires et s’éloignait déjà alors que Ron lui précisait qu’un jour où l’autre, elle devrait s’expliquer. Elle devrait expliquer pourquoi elle ne peut supporter toutes jeunes femmes susceptibles d’approcher ses deux amis.

Chris

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

BOUUUU

(Jess OMG

)

Ca fait tellement longtemps. J'aurais dû l'appeler Christopher blahblah

Encore Christopher Razz

Alors Christopher Aaron ou Aaron Christopher ... histoire de pas se dépayser Laughing

Invité

Invité

CHRIS EVAN. Ô Ô

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Emile

Et Juliette ? C'est qui ton avatar (l'inculte)

Ma bou, Ouais. Moi je propose de le mettre en trosième nom. Ces parents l'ont choisis en l'honneur du fils de leur oncle qui a choisi de s'exiler à jamais en .....Chine ? après avoir rencontre une Eurasienne (fff)

Chris

Bienvenue à toi

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Mademoiselle Dunst love

J'adore ton avatar. Vraiment.
Et félicitations pour le forum Very Happy

Il faut remercier ma fan de TduG
Merci beaucoup, merci a toi de t'etre inscrit

Aaron P. Casabelli a écrit:: Ma bou, Ouais. Moi je propose de le mettre en trosième nom. Ces parents l'ont choisis en l'honneur du fils de leur oncle qui a choisi de s'exiler à jamais en .....Chine ? après avoir rencontre une Eurasienne (fff)

Excellent X) Laughing

C'est original en tout cas Laughing

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Tu es surprise ?
Tu vas me vexer.
Tu sais comment elle s'appelait l'Eurasienne.

Invité

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Ohhh.
Mon Hayden. love

J'ai trop longtemps hésiter si mon personnage aurait ta tête ou la mienne. Mais, vu l'homme que je vais en faire, mon petit Hayden geuh

était trop distingué..

Je souligne ton bon goût Ô Ô

Invité

Il nous faudra un lien Razz

Aaron P. Casabelli a écrit:: Tu es surprise ?
Tu vas me vexer.
Tu sais comment elle s'appelait l'Eurasienne.

Je suis habituée à tes surprises, presque ^^
J'allais dire Asiya ou Loann mais je suis pas sure ... puis Loann ca fait pas eurasienne Laughing

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Un lien ?
Volontiers.
Mais la joueuse que je suis ne peut souhaiter qu'un lien positif avec toi ? love

Bambou => Ouais. J'aime quand tu mets en avant mon côté imprévisible, déjanté et ... I love you

. L'eurasienne c'était EMY. Un petit clin d'oeil à notre popo qui nous manquera terriblement par ici ..

ON T AIMEEEEE Yaaaa

_______

PS : Pensez à faire un screen qu'elle voit tout ce qu'on l'aime.

Bien sûr Emy, quelle idiote je fais blahblah

J'aurais du y penser mais j'ai du mal parfois !

Invité

Welcome !!

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Bou : Sois pas trop dure avec toi. Tu es déjà belle en toute circonstances, tu peux pas NON PLUS être intelligente. Ou irait le monde...

LIAM IS TAYLOR.... TAYLOR IS GAMBIT.... GAMBIT IS MINE.
Merci beaucoup

Invité

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Et en plus nous sommes sur la même longueur d'ondes.
J'y réfléchis déjà

Invité

» Besoin de toi, envie de shopping [Aaron