T'sais, c'est arrangé, tout ça • KATE BOSWORTH.

© WOODY PEPPER

Nom & prénom(s):

Un prénom de bourge, un nom au choix. Qui sonne américano. Ici, je l'appellerais Edith Jackson.

Age:

La vingtaine plus proche de la trentaine.

Profession:

Nature de la relation:

« Oh, tiens, Kent ! Quel plaisir de te voir, je dois absolument te présenter quelqu'un. »

Le sourire faux de sa belle mère, lui donna envie de vomir. Il s'avança vers la foule d'invité, scruta du regard les jeunes filles sûrement pimbêches qui tenaient leurs verres de champagne, tentant d'attirer l'attention de tous avec leurs robes plus que chères, plus que moulantes et plus que horribles. Tellement trop que Kent en était désolé pour elle. En costume trois pièces, le jeune homme concurrençait les autres mâles en manque de la soirée. Sa belle mère lui tapota l'épaule d'une manière abjecte, alors qu'il rêvassait au moyen de s'enfuir le plus vite possible de cette soirée.

« Edith Jackson, je vous présente mon fils, Kent Moore. »

Une blonde plutôt écervelée dans le genre, anorexique à point, se tourna comme une mannequin vers lui. Dans les convenances les plus chiantes, il se pencha et embrassa la main de la plutôt belle blonde, cette Edith au balai dans le cul. La jeune fille se mit à glousser, et il lui offrit un sourire charmeur alors qu'il avait plutôt envie de lui foutre une baffe.

« Beau fils, plutôt. Je vais au buffet, vous m'accompagnez, Edith ? »

Il l'invitait surtout pour la sauver d'une mort imminente de manque de nourriture. C'était purement amical, la jeune blonde haussa la tête, et agrippa son bras. Il pensa à la convenance et mit sa main sur la sienne. C'était tellement faux, tellement. Deux mois plus tard, ils sortaient "ensemble". Edith était du genre frigide et superficielle, à tout prévoir à l'avant. Mais son père lui avait fustigé, que s'il parvenait à tenir une longue relation avec la fille Jackson, les affaires seraient fructueuses. Elle était supra riche, après tout. Pas autant que le fils Moore, mais presque.

« Chérie ? J'ai une question à te poser. »

Edith était assise à côté de lui, sa main maigrelette sur le genou de Kent. Coupe de champagne à la main, elle se mordit la lèvre délicatement.

« J'en ai longuement parlé, avec tes parents. »

dit il, nerveux. Nerveux de rien, peut être d'un refus, pour son orgueil. Ce n'était pas qu'il aimait passionnément Edith, il s'était acclimaté à son comportement égoïste, superficiel et surtout maniaque. Il mit sa main sur la sienne, et tourna son corps vers le sien. Lui même, posa son whisky sur la table, après l'avoir fini d'un seul trait. Autant se souler pour annoncer une telle nouvelle, surtout lorsqu'on était pas tellement convaincu de ses paroles. La foule grouillait autour d'eux, et même si ce n'était pas super intime à en foudroyer Edith, il préférait ça, qu'être en tête à tête et devoir la supporter. Là, elle allait se jeter dans les bras de ses amies. Kent fouilla sa poche, les gouttelettes de sueur dévalant son dos. Fuck, et encore fuck. Il en sortit un étui de velours, qui rien qu'à la couverture valait sûrement bonbon. Edith le questionnait du regard, prenant cet air bête qui lui donnait envie de la gifler.

« Veux tu, m'épouser, Edith ? »

La jeune femme trépigna. Tellement qu'il crut qu'elle allait devenir pâle. Cet air béat sur la tête, ce sourire forcé qu'il portait lui donnait l'allure d'un poisson.

« Oh mon dieu, oh mon dieu. Kent, c'est trop beauu. Mon amour, oui, mon amour, oui ! »

Il ouvrit la boîte, dévoilant une bague énormément gigantesque, et valant cent mille dollars. Une petite dépense pour Kent, qui allait juste assuré son avenir. Il se força à sourire naturellement, alors qu'il passait la bague au doigt de sa future femme. Papa, je te hais, pensa-t-il. Pourquoi avait il fallu que son père le force à s'engager ? Pourquoi, alors qu'une autre femme qu'Edith le hantait ? Pourquoi ? La vie était injuste, se cria-t-il à lui même, alors qu'Edith tomba dans ses bras, l'embrassant comme une sangsue. Elle se leva ensuite, et des exclamations vinrent à ses oreilles. Il se leva, résigné, à figurer, comme toujours. Bordel, qu'est ce qu'il pensait en laissant tout tomber, même la femme de sa vie, juste pour être riche et malheureux ? Il allait s'enfermer dans ce mutisme, alors que Kleio était la seule, l'unique. The one.

Autre:

Edith est la future femme de Kent. Ils se sont rencontrés au gala où les riches pullulaient. Elle même est la fille d'un riche magnat du pétrole. Kent, lui, fils d'un grand concessionnaire auto aux USA. Aujourd'hui, ils viennent se marier en Grèce. Un mariage de démesure, avec une grande fiesta qui durera plusieurs jours. Kent a été en sorte forcé de se marier. Il ne voulait pas, vraiment pas, tellement il est encore amoureux de Kleio, sa petite prolétaire. Les deux futurs mariés vont tomber sur la femme des rêves de Kent en tant qu'organisatrice de mariage. Et là, tout va se trouver plus difficile.

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Kate Bosworth. Négociable (a).

Invité

J'ai mis à jour, tout tongue

Je verouille, si vous avez besoin de voir pour les details, mpottez vous

» Tout n'est pas peine perdu (Max)