KENT MOORE • I cannot breathe anymore.

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~ I. IDENTITY

Nom:

Moore.

Prénom(s):

Kent, Roger.

Date & Lieu de Naissance:

New York, deux février 1984.

Âge:

25 ans.

État Love:

Futur marié.

Occupation:

Assiste son père dans la plus grande concession de voitures des USA. Va bientôt la reprendre.

Avatar:

Justin Chambers.

~ II. THE STORY OF MY LIFE

« Kleio. Tu dors ? »

Kent roula sur le côté. Il n'arrivait pas à trouver le sommeil, même s'il y a quelques heures, Kleio et lui s'étaient attelés à des câlins caliente. Il passa sa main sur le ventre nue de sa petite amie, et embrassa ces épaules empreintes de chaleur. Kleio se retourna, toujours un peu ensommeillée. Elle se blottit dans les bras du jeune homme, caressa son torse doucement.

« Plus maintenant. Tu n'dors pas toi ? »

Kent enfouit sa main dans ses longs cheveux blonds, et haussa les épaules. Il n'arrivait pas à trouver le sommeil. Kleio était douée pour tout, mais pas pour lui donner envie de dormir. Il avait envie de profiter d'elle. Comme s'il savait qu'un évènement quelconque allait lui tomber sur le coin de la figure. Il la serra dans ses bras, longuement, puis attrapa ses lèvres. Elle se recula un instant, ses lèvres rougies et regarda son amant.

« Il y a quelque chose qui ne va pas, Kent ? »

Il hésita à se plaindre. Mais le moment était trop beau pour le gâcher. Il l'embrassa gracieusement, et caressa ses joues.

« Je t'aime. »

Un large sourire vint parcourir les lèvres de sa partenaire. Il lui sourit lui même et son cœur fit quelques bonds dans sa poitrine, comme à chaque fois qu'il était trop près d'elle. Elle lui offrit un baiser lourd de sens, se retrouvant finalement à cheval sur Kent. Se penchant délicatement, lui souriant, aux anges, elle murmura à son oreille.

« Je t'aime aussi. Tu n'essayerais pas de t'attirer mes faveurs, par hasard ? »

Kent pouffa de rire et agrippa la nuque de Kleio pour déposer ses lèvres goulument sur les siennes.

« Pas du tout. Tu vas juste m'aider à être épuisé. »

Elle frappa sa tête du bout des doigts et il mordit son épaule, partagé entre l'envie de la retenir près de lui, la câliner chastement, ou sauvagement l'embrasser et continuer la nuit en fusion.

« Qu'est ce qui se passe ? »

Kleio arriva dans la chambre. Kent, nerveux et agité, fourrait des affaires en boule dans un sac. Il tourna la tête et son cœur se brisa une fois de plus. Il ne pouvait pas lui dire ça. Non, c'était impossible. De tels mots ne sortiraient pas de sa bouche. Et pourtant, animé par une rage, il se mit à bouger dans tous les sens, cherchant indéfiniment des objets lui appartenant. Puis il fixa Kleio. Les larmes venaient et revenaient, mais ne coulaient pas.

« Je dois partir. »

Kleio ne semblait pas comprendre. Elle croisa les bras sur sa poitrine, puis haussa les sourcils.

« Et tu rentres quand ? »

Kent baissa les bras, devant tellement de beauté. Il avait envie de la prendre dans ses bras, de l'embrasser, de s'enfuir avec elle, quelque part après avoir retiré tout le cash de son compte. Il aurait pu. Mais il était beaucoup trop lâche pour manquer au devoir que son père lui obligeait.

« Je ne rentre pas. Kleio, c'est fini. »

Il déglutit et serra les poings. Le visage de Kleio fut décomposé. Il voyait les larmes perlées le long de ses joues, déjà. Le coeur serré, au bord du coma, il ferma les yeux un instant, puis comme s'il récitait une leçon, il soupira. C'était beaucoup trop dur de faire du mal à celle qu'il aimait.

« Je me fous de tes sentiments. Je vais diriger la société avec mon père. Tu n'es pas de notre monde. Mais ça a été marrant quelques temps, tu m'as diverti. »

C'était tellement méchant de dire ça. Kleio pleurait à chaudes larmes, et il n'arrivait pas à la regarder. Il prit son sac dans une main, paralysé par cette haine contre ce père et contre lui même. Il aurait voulu poser sa main sur l'épaule de la jeune femme, qui était beaucoup trop silencieuse. Lui faire communiquer, que tout ça n'était qu'une mascarade et qu'il aurait tout donné pour rester à ses côtés. Il avança juste et claqua la porte, blessé à vie dans ce combat. Je te déteste papa, oh oui.

« Oh, tiens, Kent ! Quel plaisir de te voir, je dois absolument te présenter quelqu'un. »

Le sourire faux de sa belle mère, lui donna envie de vomir. Il s'avança vers la foule d'invité, scruta du regard les jeunes filles sûrement pimbêches qui tenaient leurs verres de champagne, tentant d'attirer l'attention de tous avec leurs robes plus que chères, plus que moulantes et plus que horribles. Tellement trop que Kent en était désolé pour elle. En costume trois pièces, le jeune homme concurrençait les autres mâles en manque de la soirée. Sa belle mère lui tapota l'épaule d'une manière abjecte, alors qu'il rêvassait au moyen de s'enfuir le plus vite possible de cette soirée.

« Coleen Henning, je vous présente mon fils, Kent Moore. »

Une blonde plutôt écervelée dans le genre, anorexique à point, se tourna comme une mannequin vers lui. Dans les convenances les plus chiantes, il se pencha et embrassa la main de la plutôt belle blonde, cette Edith au balai dans le cul. La jeune fille se mit à glousser, et il lui offrit un sourire charmeur alors qu'il avait plutôt envie de lui foutre une baffe.

« Beau fils, plutôt. Je vais au buffet, vous m'accompagnez, Coleen ? »

Il l'invitait surtout pour la sauver d'une mort imminente de manque de nourriture. C'était purement amical, la jeune blonde haussa la tête, et agrippa son bras. Il pensa à la convenance et mit sa main sur la sienne. C'était tellement faux, tellement. Deux mois plus tard, ils sortaient "ensemble". Coleen était du genre frigide et superficielle, à tout prévoir à l'avant. Mais son père lui avait fustigé, que s'il parvenait à tenir une longue relation avec la fille Henning, les affaires seraient fructueuses. Elle était supra riche, après tout. Pas autant que le fils Moore, mais presque.

~ IV. BY MY SIDE!

Prénom ou Pseudo:

Padawhore.

Ton Âge:

Comment trouves-tu notre forum ?:

Other:

JUSTIIIIIIIIIIIIIIN
Bienvenue

Invité

JUSTIN .

Kent Moore a écrit:: Other: Par des circonstances mystérieuses, je me trouve en couple avec ma mère

Hein?

Bienvenue a toi

Merci
Lethal Lane est ma mère, et j'ai pas fait exprès de prendre son scéna

Purée, c'te avatar avec des paroles de The All American Rejetcs Ô Ô

Invité

Je suis amoureuse

Nombre de messages : 33 Date d'inscription : 17/05/2009

JUSTIIN

Bienvenuue. Very Happy

Kent Moore a écrit:: Merci
Lethal Lane est ma mère, et j'ai pas fait exprès de prendre son scéna

Purée, c'te avatar avec des paroles de The All American Rejetcs

VIVE TA-AR
Un lien hein

TROP

THE AAR ca rocks tout Ohh

Raah Justin. love

Bienvenue

« Tu m'as demandé, Papa ? »

Kent était à la porte du bureau de son père. L'homme d'affaires leva la tête et montra de la main une chaise devant le bureau.

« Vas y entres. »

Kent se déplaça jusqu'à la chaise. Réajustant sa cravate, son père posa son crayon et enleva ses lunettes. Le vieil homme ne se faisait plus très jeune, ces derniers temps. Il était de plus en plus fatigué, Kent distinguant de plus grandes cernes au fil des jours. Kent se souciait de son père, même si celui ci avait réussi à gâcher sa vie amoureuse, en le forçant à quitter la femme de ses rêves.

« Alors ? »

« Tu vas épouser Coleen. »

Kent ouvrit grand les yeux. C'était quoi cet ultimatum, cette obligation ?

« Quoi ? »

« Tu vas épouser la fille Henning. »

Deuxième coup de marteau sur la gueule. Il rêvait ou quoi ? Se marier à une anorexique, totalement folle ? Il sortait avec elle pour la simple convenance. Il couchait avec elle, pour faire plaisir à tout le monde. Mais maintenant, il fallait se marier ? Oh que non.

« Alors, ça suffit pas que tu me poses un ultimatum, maintenant, tu veux que je sois malheureux, toute ma vie ? »

Kent s'évertua à contredire son père. Jamais, il n'épouserait la fille Henning, même pour les beaux yeux de la société new yorkaise.

« Kent, ce n'est pas une histoire de bonheur. Tu épouseras la fille Henning, que tu le veuilles ou non. »

Le jeune homme pensa au cas de ses parents. Un mariage arrangé, totalement dépourvu d'amour. Regardez aujourd'hui. Son père en était à sa troisième femme, sa mère à son cinquième mari. Bravo.

« Et bien, je le veux pas. »

Son père soupira d'exaspération. Il n'avait pas produit le plus beau produit de coopération, dans ce monde.

« Ah oui ? Et tu veux qui, dis moi ? La Grecque ? »

Kent prit ça comme une blague. Son père, savait que Kleio était tout ce qui comptait pour elle. Tout, et maintenant plus rien. A cause de lui.

« Elle a un prénom, la Grecque. »

Une offense de plus contre Kleio. Kent se souvenait précisément du moment où son père avait appris sa relation avec une prolétaire. Il eut le droit à une scène immense, devant des gens connus.

« Oublie là. Totalement. Tu vas épouser Coleen, ou je .. »

Le père Moore ne put finir sa phrase, Kent tapa le bureau assez fort pour l'interrompre.

« Quoi, tu me déshérites ? Alors ca se passe comme ça entre nous ? Je ne fais pas quelque chose dans ton sens, tu me menaces ? »

C'était le pompon. Son père le menacait une fois de plus. Ca ne lui suffisait plus qu'il est perdu la femme qu'il aimait plus que tout, il fallait maintenant qu'il s'engage avec une sotte, une anorexique pas capable d'aligner trois mots.

« Kent, arrêtes ça, je t'en prie. Je n'ai pas la force de me disputer pour de telles sottises. »

« Mon bonheur est une sottise ? Tu fais fort, bravo. Bravo, papa, bravo. »

Kent était énervé, très énervé. Les yeux injectés de sang, il se leva brutalement et frappa une nouvelle fois le bureau pour exprimer sa colère, sa haine, sa tristesse, ce refoulement d'émotions qu'il portait en lui. Kleio, Kleio, Kleio. S'il n'écoutait que lui, il serait déjà à ses pieds, la suppliant de le reprendre, tellement il n'en pouvait plus de cette vie sans elle. Son sourire, son corps, il en rêvait chaque seconde. Cette rupture totalement bête. Il s'en voulait à un tel point. La première femme à qui il avait dit je t'aime, la seule.

« Tu sais quoi ? Je vais l'épouser. Mais je veux que tu me vires vingt millions de dollars sur mon compte, pour payer les frais. »

« Chérie ? J'ai une question à te poser. »

Coleen était assise à côté de lui, sa main maigrelette sur le genou de Kent. Coupe de champagne à la main, elle se mordit la lèvre délicatement.

« J'en ai longuement parlé, avec tes parents. »

dit il, nerveux. Nerveux de rien, peut être d'un refus, pour son orgueil. Ce n'était pas qu'il aimait passionnément Coleen, il s'était acclimaté à son comportement égoïste, superficiel et surtout maniaque. Il mit sa main sur la sienne, et tourna son corps vers le sien. Lui même, posa son whisky sur la table, après l'avoir fini d'un seul trait. Autant se souler pour annoncer une telle nouvelle, surtout lorsqu'on était pas tellement convaincu de ses paroles. La foule grouillait autour d'eux, et même si ce n'était pas super intime à en foudroyer Coleen, il préférait ça, qu'être en tête à tête et devoir la supporter. Là, elle allait se jeter dans les bras de ses amies. Kent fouilla sa poche, les gouttelettes de sueur dévalant son dos. Fuck, et encore fuck. Il en sortit un étui de velours, qui rien qu'à la couverture valait sûrement bonbon. Coleen le questionnait du regard, prenant cet air bête qui lui donnait envie de la gifler.

« Veux tu, m'épouser, Coleen ? »

La jeune femme trépigna. Tellement qu'il crut qu'elle allait devenir pâle. Cet air béat sur la tête, ce sourire forcé qu'il portait lui donnait l'allure d'un poisson.

« Oh mon dieu, oh mon dieu. Kent, c'est trop beauu. Mon amour, oui, mon amour, oui ! »

Il ouvrit la boîte, dévoilant une bague énormément gigantesque, et valant cent mille dollars. Une petite dépense pour Kent, qui allait juste assuré son avenir. Il se força à sourire naturellement, alors qu'il passait la bague au doigt de sa future femme. Papa, je te hais, pensa-t-il. Pourquoi avait il fallu que son père le force à s'engager ? Pourquoi, alors qu'une autre femme que Coleen le hantait ? Pourquoi ? La vie était injuste, se cria-t-il à lui même, alors que Coleen tomba dans ses bras, l'embrassant comme une sangsue. Elle se leva ensuite, et des exclamations vinrent à ses oreilles. Il se leva, résigné, à figurer, comme toujours. Bordel, qu'est ce qu'il pensait en laissant tout tomber, même la femme de sa vie, juste pour être riche et malheureux ? Il allait s'enfermer dans ce mutisme, alors que Kleio était la seule, l'unique. The one.

~ III. CAN'T BUY MY LOVE

Votre premier vrai grand Amour:

C'était elle. J'en étais sûr, totalement. Son corps j'en rêvais, son visage je l'embrassais. Mon premier e t'aime dans ses bras, mon cœur dansait. J'avais trouvé la bonne, et il a fallu que tout s'arrête à cause de mon père. J'en suis encore malade et je ne supporte pas de penser à elle tout le temps.

Votre premier baiser:

Vraiment pas magique. Dans une soirée huppée que je fréquentais déjà à mon adolescence, une jolie blonde m'a accostée. On a discuté et à la fin de la soirée, on s'est embrassés pour se dire au revoir. Je ne l'ai plus revue ensuite.

Votre plus grosse déception amoureuse:

Faut il que vous me heurtiez incessamment ? Kleio. Je n'ai pas à être déçu, j'ai engrangé la situation. J'ai tout gâché et chaque jour me tue sans elle.

La chanson d'amour qui vous émut le plus:

Les vielles chansons d'amour ne me font aucun effet. Tout comme celle d'aujourd'hui.

Croyez-vous à l'amour éternel ?:

J'aurais aimé, oui. Que personne ne vienne déranger mon bonheur. Mais trop tard, je n'y arrive plus me^me si je suis censé me marier dans quelques semaines.

Croyez-vous en cette légende sur la Fontaine d'Eros qui exauce les vœux amoureux ?:

J'aimerais y croire, que je rencontre Kleio et que tout s'arrange. Cette fois ci, je serais près à tout lâcher pour elle. Tout, tellement ma vie est inintéressante sans son sourire.

En quelques mots, c'est quoi l'amour pour vous :

Pousser des ailes. Beauté. Le monde en rose. Ce cœur qui danse. Ces sourires, ces caresses. Ce goût de fraise. Cet amour tout simplement, qui vous donne envie d'avancer, de construire.

J'ai fini

YOU DON'T HAVE TO MOVE YOU DON'T HAVE TO SPEAK LIPS FOR BIIIIIIIIIIIIIIIIIIITING!!!!!!! Love

Je te valide!
Je veux un lien hein

Dance inside I love you

Ouaip, j'te Mpotte & mercii Ohh