| | | une gentille matidée •• Isolde && Calliope |  |
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| Sujet: une gentille matidée •• Isolde && Calliope  Dim 17 Mai - 17:38 | |
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une gentille matinée.
Hum. 9 :17am. Eros. Villa Domas, puis les docks.
Je fut réveillé ce matin là, par la fine brise qui passait dans la maison. J'avais dût laisser une fenêtre entrouverte hier soir. Des amis a nous étaient venus la veille. Nous avions mangé un délicieux repas fait pas Cyril. Sa parfaite cuisine en a réjouit plus d'un. Il nous avait servis de somptueuses saint Jacques aux lardons et aux épinards. Sa spécialité. Il passait du temps mais surtout du plaisir a cuisiner ce plat. Cuisiner, c'est ce qui rend le plus heureux Cyril.
Je le regardais dormir, ses grands yeux fermé. Sa chaleur, ses cheveux. Je m'allongea auprès de lui, je lui passait ma main dans sa douce chevelure. Après un moment de contemplation et de méditation, je l'embrassa sur l'épaule. Je sortis du lit puis le borda avec le simple drap qui nous recouvraient. J'enfilais une chemise en soie pour aller me dégourdir dehors, au soleil. C'était ça de bien à Eros. Le soleil étaient toujours là. Toujours là pour donner le sourire, pour nous accueillir à bras grands ouvert, pour nous saluer le matin à notre réveil. J'ettirais rapidement les muscles puis rentra pour me préparer un bon thé. Je revins m'assoir dehors quelques minutes plus tard. A Eros, le temps étaient vraiment très agréable. Ce fut vraiment le coup de foudre pour moi. Je m'y suis vraiment sentie l'aise. Un coin pas trop touristique, pas trop grands et où presque tous le monde se connait. J'aime vraiment ce genre d'endroit. Pour moi, habiter en ville, c'est comme être élevé dans une cage et élevé par des maitres, qu'on appelle des présidents et des ministres.
Aujourd'hui c'était ma journée de repos. Je ne travaillais pas le Samedi , ni le Dimanche, au plus grand plaisir de Cyril, qui avait les mêmes horaires que moi. Nous étions heureux. Mais nous n'avions peut être pas les mêmes projets. Lui rêvait de fonder une vraie famille avec moi. Ma peur permanente des enfants ne me faisait pas apprécier cet idée. Je ne pouvaient pas les supporter, a n'importe quel age. C'est encore pire avec les adultes qui sont garder leurs âmes de gosses. C'est vraiment énervant. Nah mais dites vous ! Les problèmes de l'adules a gérer ( impôts, factures, administration, boulot ...) plus ceux d'un petit garçon (jeux vidéo, vielles dragues a deux balles...) !! Non, je ne veut absolument pas en avoir.
Je retourna dans ma chambre après avoir déposé ma tasse dans l'évier. Je ferais la vaisselle ce soir. J'embrassa mon tendre, puis lui laissa un mot sur la table a manger plus bas. « Je sors, je vais me promener au docks. xoxo calliope » le "xoxo" était ma marque de passage, je l'écrivait partout. Dans les textos, les post-it adresser a des amis, et même cartes de visites. Vous me direz, sa fait un peu "enfants" mais je ne crois pas. Je ne pense pas avoir un rapport avec "l'enfance". Je sortis. Je pris mon vélo pour sortir. En chemin je salua quelques voisins que je connaissait bien. Après quelques minutes j'arrivai au centre ville. Au port. Je descendit de mon vélo, l'accrocha a un pilier, puis commença ma marche. J'arreta un monsieur pour lui demander la direction de la plage. Je ne m'y était jamais encore rendue.
Calliope — Excusez, moi monsieur. Savez vous où est la plage exactement ?
Viel homme. — C'est là, bas, vous longez les docks et vous y serez.
Calliope — Merci beaucoup !!
Viel homme — Derien ! Vous êtes l'agent immobilier non ?
Calliope — Oui, c'est bien moi. Aurevoir monsieur ! Au plaisir !!
Viel homme — Ouii ... Hum ...
Je n'entendis pas ses derniers mots. Il marmonnait. Ici, j'étais un peu celle qui ferait venir du monde. Je vendais des maisons pour l'unique agence immobilière du coin. Certains m'appréciais, j'allais augmenter leurs commerces, d'autres moins, j'étais celle qui allait perturber leurs tranquillité. Cependant, j'en avait conscience et ne vendait qu'au bons clients intelligents et pas des clients qui venaient ici acheter une maison pour y habiter pendant un/huitième de l'année.
Je m'engagea sur les docks. Le vent soufflait et le soleil faisait briller ma peau. Je commençait a prendre des couleurs. En ville, c'était la morosité qui régnait et non la joie et la bonne humeur comme on dit. C'était bien la chose qui vous faisait pâlir. La routine du travail en ville. Métro, boulot, dodo. Aucune gaieté. Que de l'amertume et du chagrin. Enfin, c'est mon avis. Certains rêve de rejoindre la ville pour s'amuser et vivre à bonne usure. Pour profiter, se changer les idées. Je peux comprendre qu'en ville y a beaucoup d'activité. Mais ici, a Eros, c'est un pur bonheur. Vous pourrez admirer les couchez de soleil le soir, dessiner les côtes dans l'après midi, déjeuner dans les restaurant authentiques et profiter bien sur du soleil.
Après quinze bonne minutes a marcher le longs des docks, réfléchissant, les cheveux au vents, je me décida à me diriger vers la plage. Les vagues douces de la méditerranée étaient si belle si douces. J'aimais bien aussi celle de l'atlantique, qui jaillissaient comme des montres a n'importe quel moment. Je repris le chemin de l'allée principale. Le vieil homme m'avait dit de suivre les docks. C'est ce que je fit. Arrivée, je fut épatée. Je n'était jamais encore venu ici. La plage si belle me renvoyait des tonnes de rayons qui m'éblouissait. Je fut émerveillée. Je n'avais jamais vu tel spectacle. La hauteur du soleil était plaisante et l'on pouvait s'y promener comme bon nous semble. Je m'assis sur les petites marche pour ôter mes spartiates et retrousser mon jean. Je les tenais à la mains. J'avançais jusqu'à trouver une super place. Mais suis-je bête, pourquoi chercher ? Cette plage est presque vide, il ne vous faut même pas trente seconde pour vous trouver un endroit parfait. Je méditais, comme a mon habitude, en regardant l'horizon. Quand quelqu'un s'approcha de moi. C'était Isolde. Elle venait de derrière. Je la salua, avec de petits yeux, pas encore bien habitué à la luminosité.
Calliope — Salut !!! Tu te joins au spectacle ?
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| | | | Isolde Accolti
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| | Sujet: Re: une gentille matidée •• Isolde && Calliope Mar 19 Mai - 14:43 | |
| « Je t'avais dit de faire la vaisselle avant qu'on parte! Il est trop tard! Allez depeche toi sinon on ne va pas se promener du tout... » Voila ce qui reveilla notre chère Isolde, les cris de ses voisins. Mais comment dire, cela n'était pas un probleme pour elle étant donné qu'il était bientôt dix heures et qu'elle avait une tonne de chose à faire aujourd'hui, comme par exemple le ménage de l'appartement, les courses, le marché ... C'est donc quelques minutes après avoir entendu la porte des voisins du dessus claquer qu'Izzie se mit en route vers la salle de bain. Avant de rentrer, elle attrapa son jean large et un débardeur blanc tout simple. Une fois rentrer, la jeune femme se déshabilla et fit une douche rapide, de façon à se qu'elle commence cette belle journée bien réveillé.
Quelques minutes plus tard, nous la retrouvions dans la cuisine ou elle enfilé ses mules qu'elle avait trouvé dans une superbe friperie. Etant donné qu'elle devait passé au marché, Izzie décida d'aller faire un détour vers la plage en même temps. Elle n'avait pas besoin de se le dire deux fois. Elle était déjà en train d'ouvrir la porte quand son chien abboya, l'air de dire "et moi alors, je reste la à me tourner les pouces?" Quelle idiote se dit elle, en effet il était évident qu'elle emmene Rondoudou, son bouldog agé de quelques mois maintenant.
Une fois sortie de chez elle, Isolde partit en direction de la plage à pied, la laise de son chien à la main et son chapeau de paille dans l'autre, avec dedans son portable, son porte feuille et un bouquin. Et oui, elle qui avait voulu jeter ce vieux chapeau s'était fait disputer par sa soeur car s'était elle qui lui avait acheté quand elle été jeune dans le sud de la France. Elle décida donc de lui redonner une nouvelle vie et le transforma grace à un bout de ficelle et quelques autres décorations en sac à main.
Arrivé à l'entrée de la plage, elle laissa Rondoudou en liberté afin qu'il aille se baigner malgré la mer qui été un peu agité pour une fin de matinée comme celle la. Isolde marcha le long de l'eau quelques minutes en appellant de temps en temps son chien afin qu'il ne parte pas trop loin, quand elle remarqua un visage qu'elle connaissait bien. C'était Calliope! Enfin elle l'a connaissait bien mais seulement depuis quelques mois étant donné qu'avant elle ne pouvait pas se voir. La preuve qu'il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis. Elle avait trouvé en Calliope une très bonne amie qui faisait de temps en temps office de confidente et vice versa. Elle s'approcha donc vers elle et vit que son amie l'avait reconnu « Salut! Tu te joins au spectacle ? » Isolde embrassa rapidement Calliope et lui repondit en souriant « Oui, oui! J'aime bien venir la quand il n'y a pas beaucoup de monde, ils sont tous sur le marché à cette heure la! Mais d'ailleurs, tu m'avais pas dit que tu n'étais jamais venu ici? »
En effet, Calliope et Isolde parlaient souvent des endroits sympa à fréquenter et Calliope lui avait confié qu'elle n'était encore jamais venu voir la plage. Isolde avait trouvé cela plutot horrible étant donné que quand il faisait une chaleur épouvantable et qu'elle finissait assez tot le boulot, elle venait se baigner ici. « Quoi de beau sinon ma belle? » | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: une gentille matidée •• Isolde && Calliope Mar 19 Mai - 16:27 | |
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Roudoudou s'amusait comme un vrai petit fou. A sa place, enfin je veux dire, si j'avais été un chien, j'aurais réagit de la même manière. S'amuser dans les vagues, la mer, au soleil avec un si beau soleil, et a un moment pareil de la matinée. Ça m'aurais bien tenté, mais je ne suis pas trop baignade matinale. Ni baignade au bord de l'eau tout court. J'ai une affreuse peur de la mer. Mais une mer spéciale. Là ou se centralise la baïne. C'est un petit creux de sable dans lequel s'entraine un contre courant de la mer, qui permet le recueillement des vagues. Et le problème avec cette baïne, c'est que quand on est pris dedans, on ne s'en rend pas compte. Que vingts-cinq minutes plus tard, quand on se trouve a 300 mètres de la plage. Je m'étais fait prendre en France, dans ces baïnes. J'étais dans le Sud-Ouest, là ou les surfeur prennent du bon temps avec ces vagues bien plus grosse, et là ou le danger régnaient bien plus. Je ne savais pas si en Méditerranée, il y en avait aussi, mais ma peur restait là. J'aimais me baigner en mer, mais pas au bord. Je devais monter dans un bateau, qui m'emmènerais au large pour me baigner dans une gigantesque piscine. C'était ça, ou rien. Et puis je n'aimais pas les vagues qui rentraient dans ma bouche et qui me faisaient ma dose de sel, pour l'année entière. Mais j'ai des exigence. Je veut de l'eu clair. Car j'ai trop peur du sombre et des fond sous marins. Des poissons. Qui me mordent les orteils. Vous vous direz " Oh lala, qu'elle est sensible celle-là !!! " Mais je vous jure que je fais du mieux que je peux !!!! J'avais vraiment trop peur que le cauchemar recommence. Je ne voulais pas recommencer ces horribles instant où des maitres sauveteurs avaient dut venir me récupérer en bateau a moteur. La plus grosse peur de ma vie. Je n'avais jamais parler de cette crainte avec Isolde. Lorsque je voulais me rafraichir, je marchais près de l'eau, dans la sable frais et mouillée, ou jamais très profond. Je m'arrêtais à la moitié de mes tibias. Sinon, j'avais trouver un petit coin de paradis non loin de là, dans les calanques, une petite baie a l'eau claire, discrète et tranquille. Bon, c'est vrai que les galet ce n'est pas toujours agréable, mais c'est supportable. Pour avoir la tranquillité je pense que sa peut valoir le coup, surtout pour avoir ce coin paradisiaque pour soir tout seul. Calliope ne comptait parler de sa magnifique découverte qu'a très peu de gens. Elle ne voulait en aucun cas transformer ce merveilleux endroit en une plage recouverte a 98 % de viande humaine.
Isolde — Oui, oui! J'aime bien venir la quand il n'y a pas beaucoup de monde, ils sont tous sur le marché à cette heure la! Mais d'ailleurs, tu m'avais pas dit que tu n'étais jamais venu ici?
Calliope — Oui, c'est la première fois. Tu arrive pour l'inauguration !! Je me baladais plus haut dans les falaises pour me rafraichir, mais j'étais loin de me douter qu'ici ce serait une telle merveille !
J'aimais beaucoup la mer malgré mes craintes. C'était surement l'endroit que j'aimais le plus fréquenter. Avec la Campagne provençale. Je repensa au nombreux moment où j'avais décliner des invitations a se baigner, et où je regardait mes amis s'amuser dans l'eau, se doutant loin de l'énorme danger qui régnait.
Calliope — Ohh, pas grand choses, je découvre encore la région. Chaque semaine je me fais un nouvel endroit !!! Et toi ? Quoi de nouveau ?
Calliope se souvient que cela faisait un moment qu'Isolde n'était pas venu déguster un bon plat de Cyril. Elle espérait l'inviter.
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