DAHLIA WAGNER • lips of an angel.

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© SULKY..
© PRISCILLA AHN - DREAM.

~ I. IDENTITY

Nom: WAGNER. Effectivement, Dahlia est loin d'être grecque. C'est une américaine. qui est juste venue s'installer ici, en Grèce afin de s'éloigner de son foyer d'origine.
Prénom(s): Dahlia Zenith. Le premier en souvenir de son père qui aimait particulièrement la fleur portant le même nom.
Date & Lieu de Naissance: Chicago, USA.
Âge: Vingt-six ans.
État Love: Célibataire.
Occupation: Serveuse au Viva Kardista.
Avatar: La plus belle. Mélanie Laurent.

~ II. THE STORY OF MY LIFE

Ah mes parents... Eux, c'est une belle histoire d'amour, une vraie. Ils sont restés ensemble et sont passés outre les critiques à leur sujet mais aussi leurs malheurs. Mon père venait plutôt d'une famille aisée, contrairement à ma mère qui vivait dans un foyer plutôt modeste avec sa famille. Sauf qu'elle était heureuse comme cela. Il ne lui manquait que le prince charmant. Oui, ma mère aussi y croyait au grand amour. Je pense que c'était génétique. Elle ne le cherchait pas, elle attendait qu'il vienne à elle. Elle travaillait en tant que serveuse dans un petit café de la ville. Elle me disait que mon père était quelqu'un de très simple et qu'il ne profitait pas des avantages que lui offraient son rang pour se montrer supérieur à d'autres. Il l'avait rencontré à son lieu de travail et était tombé sous son charme. Ils apprirent à se connaître et une chose en entrainant une autre, sortirent ensemble. Mon père savait pertinemment que mes grands-parents n'allaient pas accepter que leur fils sorte avec une jeune femme comme ma mère. Sauf qu'il ne leur avait pas demandé leur avis. Alors ils s'étaient enfuis. Les deux amants en fuite. Une image que j'avais toujours en tête. Que je retiens d'ailleurs toujours. Alors à chaque fois, je lui demandais de me raconter sa rencontre avec mon père, cela me faisait croire au grand Amour, et grâce à eux, je savais qu'un jour, je pourrais moi aussi le rencontrer. Alors je m'allongeais sur le lit et c'est la même histoire qu'elle me racontait chaque soir avant de m'endormir. J'aime l'entendre raconter cette histoire. La joie, l'amour se sentaient dans les quelques trémolos de sa voix. Et je savais qu'elle était comblée, je voulais vivre la même histoire. Ou encore mieux peut-être. Qui sait ?

••• Extrait d'un journal, le tourment d'une vie. •••

On m'a dit que l'amour donnait des ailes. Mais quand c'est fini, tu tombes. Et ça fait mal. Et c'est douloureux. Je ne sais pas, ce ne sont que des on-dit. Je n'ai pas eu la chance d'avoir des ailes, ou des papillons dans le ventre bien longtemps. Par contre, le choc je l'ai senti. Quand il est parti et je n'ai même pas su lui dire que je l'aimais. Il n'avait pas le droit de me quitter, de me laisser comme ça, il m'avait promis qu'il reviendrait. Et il était revenu. A chaque fois. Alors j'étais en sécurité. Je m'en souviens encore. Ce jour-là nous nous sommes disputés, je ne sais plus à quel sujet, certainement à cause de l'une de mes nombreuses crises de jalousie. J'ai dû lui pourrir son existence à cause de cette jalousie maladive. Je n'arrive pas à croire qu'il ait pu me supporter tout ce temps. En temps normal, il était fort, mais ce soir-là, il était faible. Il n'avait su échapper à la fatalité du destin. On n'avait pas le droit de me l'enlever. Ce fut la période la plus douloureuse de ma vie. Quand il claqua la porte de l'appartement, j'étais certaine qu'il reviendrait me voir et qu'on se confondrait en excuses tous les deux; que la soirée se terminerait sous les draps. C'était toujours pareil. On se déchirait, certes. Sauf que c'était plus que ça. Alors il était sorti. Je décidai d'allumer la télévision. Journal télévisé. Flash. Accident de voiture. Un poids lourd et un petit quatre-roues. Un homme mort et un grièvement blessé. « NON! » Je reconnus la voiture. Je reconnus l'un des jeunes hommes qu'ils transportaient dans l'ambulance. Alors c'était la fin ? Vraiment ? Je n'allais donc plus le revoir. Ce devait certainement être un cauchemar. Oui, voilà, c'était ça. Le téléphone sonne. « Dahlia Wagner ? » Je réponds par l'affirmative. Non, je ne rêvais pas. Il m'avait abandonné, il avait promis de revenir. Il n'avait pas tenu sa promesse. Il n'y pouvait rien. Je n'aurais pas dû faire une énième crise. C'était donc ça ? La punition que je récoltais ? Tout mais pas lui. Il était le seul qui me restait. Je me suis élevée. Et aujourd'hui, je tombe. Brutalement. On n'a pas toujours faux. Ca fait vraiment mal. Plus que je ne le pensais.

« DAHLIA! Sors de cette chambre. »
« Pourquoi ? Je n'ai plus rien. »
« D'accord, il est parti, mais ça n'est pas une raison pour rester cloîtrée dans l'appartement pendant tout ce temps! »
« Considères-moi comme partie aussi. »
« Dahlia... Dahlia... LEVE-TOI ! »
« Laisses-moi, tu veux ? Je préfère être seule. »
« Non, t'as besoin de quelqu'un à tes côtés. »
« Oui. C'est de lui dont j'ai besoin. »
« Viens-là. Ca va aller, tu sais... »
« Ma vie ne vaut rien. Et moi non plus. La belle affaire. »

Vous savez, après cet épisode de ma triste vie, jamais je n'aurais cru pouvoir aimer à nouveau. D'un amour plus fort encore. Hyperion. C'est ainsi qu'il se prénommait. Je l'ai aimé, plus que ma propre vie. J'aurais pu tout lui donner. Ou presque tout. Je ne m'étais pas totalement remise de la perte de mon premier amour. Ca avait été si douloureux, mais j'avais réussi à franchir le cap. Du moins, c'est ce que je pensais. J'avais tout pour être heureuse à côté d'Hyperion, mais j'étais tout de même terrifié. De m'attacher autant et de le perdre lui aussi. Je ne voulais pas m'attacher et pourtant je ne pus m'en empêcher.

Deux jeunes gens éperdumment amoureux l'un de l'autre.
« J'ai une surprise pour toi. Fermes les yeux d'abord. »
« Oh, qu'est-ce que c'est ? Je veux savoir. »
« Retournes-toi. Laisses-moi faire. » Un collier. Il lui avait offert un collier pour leur second anniversaire. Au bout, un pendentif où deux lettres étaient gravées. Leurs initiales respectives.
« Comme ça, je serais toujours avec toi. »
« Il est magnifique. »
« Je crois que je vous aime Dahlia Wagner. »
« Je t'aime aussi. »

Ce fut la première fois que je dis à un homme que je l'aimais. Et pourtant, avec lui ça n'avait pas été difficile. C'était si naturel. Sauf que je pris peur, ça ne pouvait pas être si simple. Alors j'ai mis un terme à notre relation. Sans lui donner de raisons. Il ne sait toujours donc pas pourquoi. Nous ne sommes plus ensemble, mais vivons sous le même toit. Nous ne sommes que des amis. C'est ce que je me plais à répéter à tout va. Dire que je l'ai oublié, que j'ai déjà tout oublié de notre histoire serait mentir, alors je ne le dirais pas. Je dois dire que ça me plait qu'il soit mon colocataire, bien que ce soit difficile quelque fois. Il y a des fois où je n'arrive pas à le repousser. Et pourtant, je lutte, je ne veux pas m'enfuir à nouveau et le faire souffrir. Je me dis souvent qu'il mérite mieux que moi. Une femme qui la comblerait, une femme qui saurait ce qu'elle veut. Les baisers volés, la proximité de nos deux corps par moment, toutes ces choses qui me font frémir, je n'arrive pas à y mettre un terme. Je parle souvent, mais n'agis pas. Je suis certaine qu'il se pose des questions sur mon comportement très contradictoire. Mais rien de toute cela n'est un jeu, loin de là. Je l'aime beaucoup trop pour jouer avec lui. Et pourtant, j'ai l'impression que c'est ce que je fais. Sans réellement le vouloir.

« Non, je t'ai dit que c'était terminé entre nous. »
« Je ne te crois pas. Je suis fait pour toi et tu le sais. »
« Quelque chose qui te fait penser ça ? »
« Tout. Le collier que tu portes toujours. Nos baisers échangés. Nous vivant sous le même toit. C'est le destin. Il va falloir t'y faire. »
« C'est tout bonnement impossible. »
« Ne te voiles pas la face. Tu ne me repousses presque jamais. »
« ... »

~ III. CAN'T BUY MY LOVE

Votre premier vrai grand Amour: William Gardner. Je l'ai aimé, mais je n'ai jamais su le lui dire. J'étais trop possessive, alors on ne faisait que se disputer, mais on s'aimait. Puis je l'ai perdu dans un accident de voiture, suite à une de nos perpétuelles disputes. Evidemment, personne n'est au courant à part ma plus proche amie. Jamais je n'ai voulu qu'on puisse s'apitoyer sur mon sort. Je me suis relevée tant bien que mal. Beaucoup disaient qu'on était loin de ressembler à un vrai couple, mais je n'étais pas d'accord. En dehors de nos scènes de disputes, il y avait beaucoup plus que de la simple attirance ou bien de l'amitié. Sauf que je n'étais que la seule à le comprendre.
Votre premier baiser: Zachariah. Première année au lycée. Vous savez, le type le plus populaire du lycée et j'ai cru tout ce qu'il me disait cet abruti. Forcément, j'ai appris qu'il se moquait de moi bien avant qu'on ne s'embrasse pour la première fois. Et j'ai joué la fille déçue, ça a plutôt marché, il a été humilié. Il saura maintenant qu'on ne joue pas bien longtemps à ce jeu-là avec une Wagner. C'était horrible.
Votre plus grosse déception amoureuse: C'était au lycée, évidemment. Première année. Il s'appellait Zachariah, il était un peu plus âgé que moi, j'étais naïve en ces temps-là. Plus que maintenant, alors j'ai cru à toutes ses belles paroles. Qui se révèlèrent toutes fausses. Je n'étais qu'un jeu, c'était un défi que lui avaient lancé ses amis. Croyez-moi, je me suis vengée et je suis sûre qu'il n'a toujours pas oublié.
La chanson d'amour qui vous émeut le plus: AEROSMITH - I Don't Want To Miss A Thing.
Croyez-vous à l'amour éternel ?: Oui, j'y ai toujours cru. Pourquoi ? Grâce à mes parents, ils étaient tellement heureux ensemble, qu'ils m'y ont fait croire dur comme fer. J'aimerais le rencontrer aussi cet amour éternel.
Croyez-vous en cette légende sur la Fontaine d'Eros qui exauce les vœux amoureux ?: Sérieusement ? Pas du tout. J'ai du mal à croire qu'en jetant une pièce dans cette fontaine, je puisse trouver le grand Amour ou n'importe quoi d'autre. C'est tout bonnement impossible, je ne crois pas en ces légendes, je suis loin d'être supersticieuse, alors ces histoires sont à raconter à des personnes plus naïves que moi.
En quelques mots, c'est quoi l'amour pour vous: L'amour, c'est deux personnes qui s'aiment. Rien de plus banal. L'amour c'est un couple que rien ni personne ne pourra séparer. L'amour sait résister à tous les dangers.

~ IV. BY MY SIDE!

Prénom ou Pseudo: PRESSE-PAPIERS.
Ton Âge: Sixteen yo.
Comment trouves-tu notre forum ?: Super, j'y étais d'ailleurs.
Other: Je ne pense pas. Ohh