• JERSEY W. ___ never is a promise. {done}

« Nous sommes ce que nous choisissons d’être. »

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© ZIMONA @ LJ

•• chapter one. __ identity

• NOM :

WHITEMORE.

• PRÉNOM (S) :

JERSEY, Ailionora. Ailionora est un prénom irlandais, que Jersey a hérité de son arrière grand-mère. Ayant des origines irlandaises, Jersey semble plutôt fière de ce second prénom, trouvant son prénom Jersey, tout simplement à vomir. D'où le fait qu'elle se fasse souvent surnommée Aili.

• DATE ET LIEU DE NAISSANCE :

Jersey est née le 13 janvier, à Odessa, Texas, USA.

• ÂGE :

Vingt-trois ans.

• ÉTAT LOVE :

En couple.

• OCCUPATION :

Jersey occupait son temps au Texas, en étant fleuriste. Il s'avère que la jeune femme est très douée, malheureusement, sa première vocation avait été danseuse, mais après une blessure, elle se recycla dans les fleurs.

• AVATAR :

SCARLETT JOHANSSON.

•• chapter three. __ can't buy my love

• VOTRE PREMIER VRAI GRAND AMOUR :

Jersey se souvient de lui avec exactitude. Un grand garçon, cheveux bruns, et des yeux d'un bleu si profond que la première fois qu'elle avait croisé son regard, son cœur s'était totalement retourné dans sa poitrine. Matt. Ils s'étaient rencontrés au lycée, il était plus âgé que Jersey d'une année, mais ils avaient des amis en commun, et se rendaient souvent aux mêmes fêtes, par hasard. C'est ainsi que de fil en aiguilles, ils tombèrent amoureux. Le grand Amour, ils ne passaient pas un seul instant l'un sans l'autre, toujours accrochés l'un à l'autre comme si ils étaient attachés, ou comme si il y avait un pouvoir magnétique qui les poussaient l'un vers l'autre. Bien des personnes ont essayés de les séparés, mais rien n'y faisait, leur amour était trop fort pour pouvoir être brisé. Restant ensemble pendant de longues années, six années exactement, ils prévoyaient également de se marier ensemble. Mais pour une raison quelconque, leur histoire s'arrêta, de façon assez brutale.

• VOTRE PREMIER BAISER :

Son premier baiser a été partagé avec son premier grand Amour, Matt. Il a été très maladroit, un peu baveux même. Pas le meilleur baiser dont elle se rappelle, mais l'histoire qui se passa par la suite entre le jeune homme et elle, s'attrapait largement ce baiser, puisque cela n'avait aucunes importances à ses yeux, elle appréciait juste le fait qu'être aimée.

• VOTRE PLUS GROSSE DÉCEPTION AMOUREUSE :

Encore une fois avec ce fameux Matt. Ils étaient fiancés, ils étaient alors âgés de vingt-ans. Mais Matt s'éloigna d'elle lorsqu'elle se fit avorter, car Jersey était tombée enceinte de Matt. Se jugeant trop jeune pour avoir à assumer un enfant, elle se fit avorter sans même annoncer sa grossesse à Matt. Mais quelqu'un aurait lâcher l'affaire subitement, et cela mit terme à l'histoire d'amour entre les deux jeunes. Avec du recul, Jersey était persuadée qu'au fond, cela n'aurait pu marcher entre eux, et qu'ils avaient fait le bon choix de s'éloigner l'un de l'autre. De temps à autre, elle a la chance d'avoir des nouvelles du jeune homme, mais, que très rarement.

• LA CHANSON D'AMOUR QUI VOUS ÉMUT LE PLUS :

Jersey est une fan inconditionnelle de la chanson d'Aerosmith, I Don't Wanna Miss A Thing. Dès qu'elle l'a entendu dans son film préféré, cette chanson fait battre son coeur à la chamade. Elle souhaite même l'avoir comme chanson pour son mariage si elle se mari un jour. Dès que Jersey met en route cette chanson, elle ne peut retenir ses larmes, cela prouve combien cette chanson la touche.

• CROYEZ-VOUS EN L'AMOUR ÉTERNEL ?:

Jersey ne croit pas en l'Amour éternel. Loin de là. Il est possible que l'ont trouve son âme sœur, mais, faire un mariage éternel est impossible à ses yeux, ayant vu ses parents se déchiraient dans son enfance. Jersey n'a jamais réellement connu l'amour, sauf avec Matt, et quelques amourettes par-ci par-là. Mais non, l'amour éternel est impossible à ses yeux. C'est encore quelque chose tout droit sorti des films d'amour pour adolescentes.

• CROYEZ-VOUS EN CETTE LÉGENDE SUR LA FONTAINE D'ÉROS QUI EXAUCE LES VŒUX AMOUREUX ? :

Jersey y croit que très moyennement. Il suffit que les gens sachent cela pour se rendre à cette fontaine pour trouver l'amour. Selon Jersey, c'est simplement l'inconscient qui poussent les gens à trouver l'amour. Plus on est persuadée que cela marche, plus les choses viennent par elle-même. Mais de là de faire passer cette fontaine pour une fontaine qui exauce des vœux, c'est juste une bonne blague, comme la Saint-Valentin ou Cupidon. Elle pourrait y croire si un de ses amis y succombaient ou elle-même, mais en tout cas, elle trouve cette histoire tout simplement à mourir de rire.

• EN QUELQUES MOTS, C'EST QUOI L'AMOUR POUR VOUS :

Une expérience extraordinaire qu'il faut vivre à cent pour cent.

•• chapter four. __ by my side

• PRÉNOM OU PSEUDO :

CHERRYTREE.

• TON ÂGE :

Dix-sept ans.

• COMMENT TROUVES-TU NOTRE FORUM ? :

Je crois que j'y étais inscrite sous l'ancienne version, mais ayant un cerveau de blonde, j'arrive pas à me souvenir. En tout cas, j'aime beaucoup ce forum.

• OTHER :

« It’s good to be scared. It means you still have something to loose. »

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MADE BY WINNIE

« I've heard it's possible to grow up. I've just never met anyone who's actually done it. Without parents to defy we break the rules we make for ourselves. We throw tantrums when things don't go our way. We whisper secrets with our best friends in the dark. We look for comfort where we can find it. And we hope. Against all logic. Against all experience. Like children, we never give up hope. »

Citation :: « Mes parents, je les ais à peine connu, et les rares fois où j’avais cette chance, ils se jetaient des vases à la figure. Voilà l’image que j’ai de mes parents. J’ai subis cela pendant de longues années, de ma naissance jusqu’à mon adolescence. Et quand ils m’ont annoncés qu’ils divorçaient, je n’ai même pas été triste, pour moi, un simple bout de papier signifiait que j’allais enfin avoir une vie paisible et normale, loin de toute cette haine qui me changeait. Je n’ai pas eu le droit à cette innocente étant enfant. Je changeais de nourrisse toutes les semaines, je n’avais aucunes attaches, peut-être sauf avec la cuisinière qui me cachait des tablettes de chocolat quand je n’arrivais pas à dormir la nuit, mais elle aussi à été virée. Mes parents écartaient de moi toutes les possibilités d’un quelconque amour. À leurs yeux, je n’étais que leur enfant non désiré qui leur bouffait leurs vies. J’ai donc grandis seule, je me suis faite seule. Je ne sais pas si j’ai bien tourné, mais en tout cas, je ne pense pas faire partie des mauvaises personnes en ce bas-monde, ou si c’est le cas, les rares personnes qui m’entourent se montrent particulièrement hypocrites. Les faux sourires, tous les artifices en ce bas-monde, ça me connait. Je me suis élevée comme ça. J’aurais beau sourire, cela ne voudra pas dire que je suis heureuse, j’aurais beau vous prendre dans mes bras, cela ne voudra pas forcément dire que je vous aime. Mon monde n’est fait que de paraître. Faire semblant, c’est ce que je sais faire de mieux. Une façon à moi de me protéger. Certains appels ça une hypocrite, moi j’appelle ça avoir une carapace. Chacun sa définition des choses après. »

Il était tard, près de minuit. Jersey était allongée sur son lit, un bouquin à la main. Ses parents étaient au rez-de-chaussée, enfin de se bagarrer encore une fois. Des bruits de verres, des tas de choses, dont Jersey avait l’habitude. Elle était adolescente, cette période où tout vas mal, et pourtant, elle semblait particulièrement concentrer sur son livre, mais, elle relisait sans cesse la même phrase depuis cinq minutes, sans même s’en rendre compte. Un soir comme les autres, à ses yeux. Mais celui-là serait différent.

VANESSA – C’est terminé George, je veux que tu quittes cette maison.

GEORGE – Tu ne peux pas.

VANESSA – Si je peux.

GEORGE – Et Jersey ?

VANESSA – Depuis quand tu te soucis d’elle ?

GEORGE – C’est notre fille. La séparation n’est pas le meilleur moyen pour …

VANESSA – Arrête, elle sait se débrouiller seule. On était jamais là avant, puis, honnêtement, tu t’en fiches pas mal d’elle, tu ne l’as désiré pas, comme moi.

GEORGE – Certes, mais c’est mon sang, mon seul enfant.

VANESSA – Vas voir la jeune blonde de ton bureau alors, elle te donnera un autre enfant.

C’est à cet instant qu’ils se rendirent compte de la présence de Jersey puisqu’elle s’était levée, les larmes aux yeux. Elle savait qu’elle n’avait jamais été désirée, mais il n’empêche que l’entendre de la bouche de ses parents, cela blessait tout particulièrement.

VANESSA – Jersey !

Mais la jeune blonde était déjà remontée dans sa chambre, fermant la porte à clé derrière elle. Enfilant un jean, un t-shirt, et sa veste, elle ouvrit sa fenêtre, pour seule idée d’aller rejoindre son petit ami Matt. Depuis ce jour, Jersey a totalement ignorée sa famille, malgré qu’elle ait vécu sous le même toit que sa mère pendant deux années, jusqu’à sa majorité.

« Le temps emporte tout, qu'on le veuille ou non. Le temps emporte tout, le temps efface tout et tout ce qui reste à la fin ce sont les ténèbres. Parfois, au cours des ténèbres on retrouve d'autres personnes. Et parfois au cœur des ténèbres on les perd à nouveau. »

Citation :: « L’Amour est une belle merde, ça, je peux vous le dire. Il arrive qu’il y ait des gens tellement jaloux qui cherchent à tout prix à nous séparer de l’être aimé. Et c’est dans ces cas-là qu’on se rend compte si l’histoire est faite pour durée ou non. Dans mon cas, je crois que ma plus grande histoire d’amour avait épuisée son stock de patience. Sérieusement, j’ai faillis faire la plus grosse connerie de ma vie. À vingt ans, j’étais déjà fiancée, à mon amour de collège. On sait tous que c’est rare que garder son amour de colère, puis, le mariage, franchement, c’est une chose que je n’aime pas particulièrement. Une cérémonie qui coûte souvent des fortunes alors que c’est que pour une journée, une bague qui coûte une fortune qu’on enlève aux bouts de quelques années, et un amour qui se détériore. On m’a toujours dit « L’amour rend aveugle, mais le mariage rend la vue. » Moi dans mon cas, j’ai eu la chance de ne pas aller jusqu’à l’autel. J’aurais fais la plus belle connerie de ma vie. »

MATT – Merde, Jersey.

JERSEY – Qu’est-ce qui se passe ?

MATT – C’est vrai ?

JERSEY – Quoi ?

MATT – Tu es enceinte pas vrai ? Les nausées le matin, où tu disais que tu avais chopée un coup de froid.

JERSEY – Matt.

MATT – Je veux qu’on garde l’enfant.

JERSEY – Il n’y a plus d’enfant.

MATT – Qu… Quoi ?!

JERSEY – Je ne pouvais pas nous gâcher notre avenir. On a vingt ans Nom de Dieu. Tu t’imagines avec un bébé sur les bras toi ? Pas moi.

MATT – Tu ne m’as même pas demandé mon avis, tu es parti avorté, pensant que c’était la meilleure solution.

JERSEY – C’était la meilleure solution.

MATT – Tu sais, je suis sûr qu’on aurait été heureux. Seulement, tu te répètes sans arrêt les erreurs de tes parents dans la tête, et tu pensais que cet enfant, ça serait toi, comme dans le passé.

JERSEY – Ca y est, tu t’improvises psy ?

MATT – Explique moi.

JERSEY – Il n’y a rien à expliquer. C’est fait. Ce n’est pas comme si y’avait un processus pour faire revenir l’enfant.

MATT – Je n’y crois pas. Que tu ais fais ça dans mon dos.

JERSEY – Oh, arrête un peu.

Depuis cette dispute à propos de l’avortement de Jersey, les choses s’étaient relativement détériorées entre Matt et la jeune femme. Il ne comprenait toujours pas le choix de la jeune femme, et malheureusement, cela les poussa à ses séparés. Les récents évènements avaient fait que l’amour fusionnel qu’ils avaient ressenti l’un pour l’autre depuis des années avaient soudainement disparues. Jersey s’était perdu, elle n’était plus la jeune femme douce, et aimante qu’elle avait été auparavant, comme si une fois que le bébé avait été enlevé, elle avait elle-même changé. Pour laisser place à une Jersey sarcastique, à la limite de la froideur. C’était elle contre le monde à présent.

« Pour rester soit même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre comme n’importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu’un humain puisse livrer, et cette bataille n’a pas de fin. »

Cela faisait déjà quelques mois que Jersey se trouvait en Grèce. Alors qu’elle y était venue pour de courtes vacances, cette jolie blonde aux formes pulpeuses avait rallongés son séjour. Comptant même s’y installée tellement cette ville avait conquis son cœur. Le soleil était à son apogée, Jersey était assise à une terrasse, seule, ses lunettes sur le bout de son nez, son sac sur ses genoux. Regardant l’horizon depuis déjà quelques minutes, Jersey regarda soudainement sa montre, elle était attendu chez une amie, et dans le genre ponctuel, on ne pouvait pas faire pire que Jersey puisqu’elle était déjà en retard d’un bon quart d’heure. Attrapant son verre de limonade, se levant rapidement, elle percuta violemment un homme, vu la carrure, et renversa le contenu de son verre sur cet individu.

JERSEY – Je suis sincèrement désolée.

Jersey la maladroite. Voilà comment certains de ses amis la surnommaient, il fallait avouer que Jersey était loin d’être quelqu’un d’adroit. Elle pouvait parfois tout cassé sur son passage, ou faire des gaffes sans le faire exprès. Jersey releva le regard vers la personne qu’elle venait de bousculer tout en lui offrant une tenue à la limonade. Elle marqua pourtant un temps d’arrêt. Ce jeune homme était particulièrement beau, et sous certains traits, il lui faisait pensait à son grand amour d’autrefois. Ne réagissant plus, attendant très certainement une flopée d’insultes à son égard.

INCONNU

JERSEY – Je suis incroyablement maladroite.

Jersey avait littéralement ignorée les paroles du jeune homme, continuant à le fixer, essayant d’aligner une quelconque phrase avec des mots dans le bon ordre. Elle était troublée, et surtout mal à l’aise.

JERSEY – Laissez-moi vous payez un verre pour me faire pardonner.

INCONNU

JERSEY – D’accord. Oui. Je comprends. Enfin. C’est logique je veux dire.

INCONNU

JERSEY – Je ne panique pas.

INCONNU

JERSEY – Ecoutez monsieur …

INCONNU

JERSEY – Monsieur Casabelli, je sais quand je rougis ou non.

AARON

JERSEY – Par accident.

AARON

JERSEY – Très bien. Vous avez l’air d’un parfait abruti avec votre chemise ainsi tâchée.

AARON

JERSEY – Vous-même. Vous aviez qu’à faire attention.

AARON

JERSEY – Je dois y aller.

AARON

JERSEY – Jersey Whitemore. Quoi ? Non. J’ai rien dis. Laissez-moi. Abruti.

Puis Jersey s’était enfuit à toutes jambes, en ayant même oublié de payer son verre. Elle venait d’insulter un inconnu d’abruti, et ils venaient de se chamailler publiquement. Et pourtant, pendant de nombreux jours, elle repensait à cette petite dispute, au final, assez amusante aux yeux de la demoiselle. Et c’est ainsi qu’elle l’aperçu un autre jour, près de ce même endroit où elle l’avait percuté. Puis, de fil en aiguilles, après de nombreux rendez-vous quelque peu improvisé pour la plupart, ils finirent par sortir en couple, malgré la meilleure amie du jeune homme, pour laquelle Jersey éprouve la plus grande haine, enfin… haine est un bien grand mot.

CHERRYTREEEEE Ô Ô

Bienvenuuue I love you

Ah ah, la voleuse de meilleur ami !

Bienvenue Yeah

SCARLETT
Bienvenue

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 16/05/2009

Isolde. Je te présente ma petite amie.
Ma petite amie, je te présente ma cousine ~~détestée~~

Tu n'as vraiment pas de chance alors Jersey
je rigole bien sur :arrow:

JUNIE • BROWNIE'S STOMP
Merci.

BAMBOU • Espèce de sale chieuse va.
Merci.

ISOLDE • KIRSTEN
Merci. Et puis, nous faut un lien, vu que tu es la cousine de mon cher et tendre.